lire le livre LE DOSSIER OVNI DU KGB

Ce livre rapportes des cas non connus en occident, et des éclaircissements puisés à la source, il n'a pas de partis-pris, il n'est que le reflet de documents d'archives et textes de presse traduits du russe, pour ne pas dénaturer les phrases sur les documents originaux, la forme et syntaxe a été conservée, au détriment de la tournure française, afin que chacun puisse lire mot à mot. Les curriculums des officiers ayant participé aux enquêtes, est donné avec précision comme source de leur existence réelle, l'ensemble des données est vérifiable, que l'on croie aux ovnis ou pas, les faits décrits ne manqueront pas de nous intriguer au plus haut point.Conçu pour refermer officiellement le dossier ovni, le dossier bleu du KGB a été comparé, non sans raison, au projet Blue Book. Il s’est produit en Russie un peu ce qui a été vécu en occident, des observations inexpliquées suivies d’une multitude de personnes douteuses qui vont de l’arnaque à la supercherie de masse pour faire parler d’eux, le sujet tourne au « ridicule », et là-dessus arrive le directeur de l’Académie des Sciences qui dit ; il n’existe rien, bon il a quand même travaillé dessus durant 13 ans et absorbé un montant de 520 millions de roubles de l’époque soit 40 millions de roubles par an pour nous dire officiellement que les ovnis sont une affabulation. Il a quand même mis beaucoup de temps et a consommé beaucoup d’argent des contribuables pour parvenir à cette singulière conclusion. De nos jours un scientifique chercheur d'État qui passerait quinze ans de sa vie et dépenserait 520 millions d’euros pour travailler sur un sujet qui n’existerait pas serait un escroc sans scrupules doublé d’un gigantesque incompétent scientifique.Je ne pense pas qu’une nation moderne comme l’URSS puisse dépenser un demi-milliard de fonds publics s’il n’y avait pas eu un intérêt stratégique majeur. ( FBIS, UFO Sighting n° 2 – General Maltsev Comments, 24 mai 1990, pp. 1-4).De 1978 à 1980, le SETKA AN, a reçu chaque année environ 40 millions de roubles par an (120 millions de roubles en trois ans). Au cours des cinq années suivantes, les budgets du domaine ufologique et spatial ont augmenté de six fois, à un moment où l'argent faisait défaut et où ce n’était pas indispensable. Ce serait donc un budget atteignant 240 millions de roubles par an en 1986 dans les domaines ufologiques, ceci est simplement impensable de nos jours. A final 520 millions de roubles de l’époque dit-on, soit1 milliard 300 millions de francs des années quatre-vingt est englouti par un groupe de 15 scientifiques chargés d’élucider 13 500 cas d’ovnis potentiels en URSS.L'augmentation du financement a été prévue parce qu’il y eut un projet secret, nommé Citadelle, que supervisa personnellement Iouri Andropov, alors chef du KGB. Selon la version officielle, un projet nommé Citadelle fut conçu pour protéger la surface de la terre de l'impact des astéroïdes, mais dans la note explicative il est spécifié un détail d’importance : « ... des astéroïdes et autres objets spatiaux qui pourraient constituer une menace ».Sur 3 000 rapports qui restaient sur 13 500, (2 600 perdus, les autres incinérés ou détruits lors d’une inondation après avoir été volés par les membres de la commission d'enquête ufologique), environ 100 émanaient d’unités militaires et concernaient des contacts directs, 400 cas furent vendus aux américains à George Knapp, 17 cas précis avec 124 pages émanaient du KGB et furent rendus publics, on ne sait pas combien furent détruits et combien subsistèrent. Quelques cas sont rapportés dans des ouvrages autobiographiques de membres du Setka, qui s’approprient les dossiers d'État.